I'm not a robot

CAPTCHA

Privacy - Terms

reCAPTCHA v4
Link



















Original text

Aujourd’hui, je veux réfléchir sur le sujet : « Qui est la victime ? Imaginons que 2 copines viennent au magasin ? On choisit une robe et on n'ose pas faire de choix, tout en demandant à une amie de l'aider dans son choix. Une amie recommande en fonction de ses propres considérations. Dans cette situation, comment répartir les rôles ? Comme on le voit, la fille qui choisit une robe est une victime. Elle ne peut pas faire face seule à la situation ; elle fait appel à un « héros » à l’aide, même si elle en est elle-même capable. Rappelons l’affirmation : « nous nous appuyons sur la vérité de l’autorité, et non sur l’autorité de la vérité ». Et il s'avère que toute la responsabilité du choix incombe à l'ami. Il arrive souvent que les psychologues soient abordés précisément du point de vue de la victime-héros : « Vous me sauverez ». Et souvent, ce comportement latent fait que je ne ferai rien. Voyons maintenant ce qui arrive à la maison à la fille qui a acheté la robe sur demande. Elle montre la robe à la maison et est réprimandée pour son choix. Et comme le choix ne lui appartient pas ou qu’il s’avère que cela ne lui convient pas, elle dit à tout le monde : « Ce n’est pas moi, c’est son goût. » Ensuite, les parents ou amis se mettent en colère contre le « mauvais » conseiller. La même chose se produit avec les psychologues. La « victime » se plaint que non seulement elle souffre de la situation, mais qu'elle a également consulté « un groupe de spécialistes » qui ne l'ont pas aidée. Appelant ainsi ce psychologue/thérapeute/médecin à devenir un « héros » et à la sauver. Parfois, la vanité d'un spécialiste le pousse à s'unir à la « victime » dans cet élan. Ensuite, la « victime » dit que le prochain spécialiste est un idiot, qu'il ne peut pas l'aider et qu'en même temps elle peut être intérieurement fière d'être plus forte que tous les spécialistes qui n'ont pas pu vaincre sa maladie « spéciale ». Mais, Dieu merci, de plus en plus de spécialistes ne se joignent pas au problème. Dans ce cas, il est plus facile de résoudre le problème si vous « regardez le labyrinthe de côté ou d’en haut », en vous souvenant du théorème de Hegel. Et quelle serait la meilleure manière d’agir sans entrer dans la position de « victime ». Si vous vous souvenez de l'histoire avec vos amis, vous devez dès la première étape transférer la responsabilité à la fille elle-même, afin qu'elle puisse faire son propre choix. Par conséquent, les psychologues n'ont pas l'habitude de donner des conseils, mais il est nécessaire, avec la personne, de faire des parallèles, de rechercher des relations de cause à effet et de transférer la responsabilité du choix au client lui-même. Ainsi, une personne est capable de résoudre elle-même ses problèmes, mais parfois elle a simplement besoin d'aide pour trouver le chemin le plus court vers l'objectif souhaité. Répondre à la question : « Qui est la victime ? Je dirai : qu’en est-il de quelqu’un qui n’assume pas la responsabilité de sa vie ?.