De l'auteur : Un nouveau regard sur la psychologie transpersonnelle et, bien sûr, sur la psychologie pratique en général. D’un autre côté, il s’agit d’un retour aux racines culturelles de la psychologie. Il s’agit d’une nouvelle « ancienne » vision de la pratique. Je vous propose les 8 premiers paragraphes de la partie 1 de l'Encyclopédie COLOTROPA.Encyclopédie COLOTROPA La traduction était correcte lorsque Tibon, qui a traduit le livre, était amoureux de sa fiancée ; bien - quand il était en colère ; aqueux - quand des vents forts soufflent ; profond - en hiver; quand il pleuvait, Tibon ne traduisait pas, mais commentait et racontait le texte ; et quand il était content, la traduction était tout simplement fausse. Milorad Pavic. "Dictionnaire Khazar". De l'auteur, j'ai divisé le texte de l'Encyclopédie en parties. Chaque partie comporte plusieurs paragraphes. Le nombre de paragraphes dans chaque partie dépend de ma préférence personnelle. De nombreux paragraphes comportent des ajouts - commentaires, arguments à l'appui et illustrations. Le concept de « processus » dans le texte signifie des processus « de travail », ou des pratiques dans le contexte du projet KOLOTROP. Il s'agit de la respiration holotropique, des méditations de Lumière Claire et d'Obscurité Profonde, ainsi que des entraînements en général : entraînements en ville « Respiration - Travail de l'Esprit » et entraînements en montagne « Chemin du Magicien » et « Voie Lactée ». Les détails du « processus » sont toujours clarifiés dans un paragraphe spécifique. Dans le texte de l'Encyclopédie, l'orthographe des mots et la grammaire peuvent être modifiées en faveur du contexte. Je n'impose pas l'origine des mots. L'origine des mots doit être, comme on dit, « COLLECTER » (Par exemple, en français, « mot » c'est « deviner », c'est-à-dire « parole »...). C'est pourquoi nous utilisons des processus de « travail ». L'Encyclopédie elle-même a été conçue, lancée et écrite dans un processus – dans une pratique COLOTROPIQUE constante. Mais qu’est-ce que la vie ? L’Encyclopédie KOLOTROPA est le produit d’une pensée « de gauche » ou analytique. Mais est-il possible de décrire ainsi l’intégrité de KOLO ? Afin d’aplanir cette contradiction méthodologique, une source « du côté droit » est rédigée en parallèle de l’Encyclopédie. C'est la DÉCISION de l'auteur. Première partie KOLO est le Soleil, mais le terme SOLEIL lui-même est emblématique ! SOLEIL - Le Soleil « salé », c'est-à-dire la ressource Soleil, se nourrissant de la ressource de la triple énergie, le Soleil absorbant, générant la grande OBSCURITÉ. Et KOLO est le Soleil émetteur, le Soleil est LUMIÈRE. Ainsi, le Soleil a deux hypostases, comme INHALEZ et EXPIREZ. Dans le corps humain, ces deux hypostases sont étymologiques : COUDES et GENOUX... En un mot, LE SOLEIL EST UNE CLOCHE. Commentaires Le fait que les genoux aient une origine similaire à celle du KOLO est immédiatement évident. Genoux, piquets, piquets... Quant aux coudes, ce concept est un « envers » des genoux : piquet - lock. D'une part, ce sont toutes deux des articulations qui peuvent même avoir un objectif similaire, par exemple lors d'un combat, d'un duel ou d'un mouvement de rampement. D'un autre côté, quelque chose d'opposé l'un à l'autre. Fonctionnel? Ou énergiquement ? Après tout, la lumière et l'obscurité - émettant et absorbant les rayons de notre luminaire - sont son essence. Mais à quoi ça sert ? D'autres paragraphes le révéleront. L'image des rayons « SOLEIL-COLO » (lumière sombre) illustre les deux objectifs de l'entraînement COLOtropique : la circulation de la ressource de la PEUR et l'expression de la vraie JOIE. Commentaires Les premières et dernières émotions fondamentales dans la chaîne de leur formation sont remarquables. Et en termes de période de l'année, ils correspondent à l'hiver et à l'été - les deux saisons « de pointe ». Et ces deux émotions, d'ailleurs, remplissent le corps - la peur et la joie - pour être « rempli de peur » et « plein de joie ». Qu'est-ce que c'est ?.. « Ils remplissent le corps » - y compris nous rassasiant au sens littéral. L'image d'une personne chez qui la joie domine dans ses pensées, ses paroles et son comportement - Hetei - le Bouddha rieur, est parfois représentée avec une outre de vin comme symbole de l'énergie solaire enivrante. Ou est-ce l'image d'un bouffon de la cour, car un bouffon maigre n'a aucun sens ! Quant à l'image d'une personne qui a peur, toute notre vie est remplie de tels « types ». Leur différence est une personne dans la joie et une personne dans la peur - le poids. La joie nous rend léger au sens littéral, c'est-à-dire sur la balance est léger, comparé à ceux qui ont peur et qui ont une constitution corporelle similaire. Mais ce n’est qu’une « similarité » apparente à première vue. Il convient de comprendre que les deux objectifs de la formation ne sont pasappelez-nous pour être complet. Le fait est que dans la vie, la plénitude dans la peur est typique, contrairement à la plénitude dans la joie. Il ne s’agit pas du tout de la constitution du corps. Il y a d'autres émotions que celles qui nous remplissent. Et ils nous sont tout simplement plus accessibles que les « deux extrêmes ». Même la peur dans sa forme pure est une ressource et un cadeau pour nous, et elle ne nous remplit pas physiquement, mais remplit notre vie de DÉCISIONS, et les bonnes DÉCISIONS nous remplissent à leur tour de joie ! Autrement dit, ces deux « extrêmes » sont atteints ensemble, comme deux objectifs de la formation COLOTROP. Et ce qui nous rend inertes, gros et lourds, c'est un fardeau de la modernité, qui ne fait que supprimer la joie, mais peut se transformer en d'autres émotions « lourdes » - agression, ressentiment, jalousie, envie, etc. Nous y reviendrons, et sous différents points. de vue. Nous vivons « sous les Solonets » - sous des peurs salées - la peur de la mort nous détourne de la RESSOURCE de la triple énergie et... raccourcit ainsi la vie plusieurs fois (!) Vraiment vivre est COLOtropique ! Commentaires Une personne vit de 60 à 100 ans. Mais la ressource d'une cellule biologique est d'environ 500 ans. Et dans les légendes anciennes, les gens vivaient 1000 ans, et même plus... Eh bien, même si vous ne croyez pas à la littérature parascientifique, des questions demeurent : pourquoi vivons-nous si peu, où va la ressource d'une cellule biologique, d'où vient le programme de vieillissement et de mort, pourquoi Pendant le processus de mort cellulaire programmée - apoptose, les tissus vieillissent ??? Nous vivons dans le « royaume lunaire » - c'est un terme culturel, où l'attribut principal du « royaume lunaire » est la PEUR DE LA MORT. D’où toutes les autres peurs – quotidiennes, personnelles, externes, existentielles, etc. D’où tous les problèmes qui découlent de ces peurs. Nous pouvons à peine imaginer ce qui reste du « royaume solaire » – QU’est-ce que c’est ? Quelque chose d’opposé au « royaume lunaire » ? C'est-à-dire : « absence de peur de la mort »... Mais cela fait partie de la vérité, on peut dire « la moitié », si l'on juge qu'il nous reste « la moitié » du SOLEIL - en fait, le concept même de « Soleil". Et nous ne « voyons » qu'une partie de ses rayons, dont nous apprécions et comprenons leur essence - ils réchauffent, brillent, rayonnent. Mais ce sont précisément ces rayons qui n'appartiennent pas à la moitié de ce « Soleil »... Et où est passé KOLO ? Il ne reste que dans le folklore populaire « ensoleillé ». C'est une telle confusion avec les termes. Ce n’est pas pour rien qu’on dit que « la moitié de la vérité est pire qu’un mensonge ». C'est là que la vie est perdue. En effet, « rien n'est éternel sous la LUNE »… La soirée est « salée ». Prenez le Soleil et « donnez le dîner à l’ENNEMI ». Car la physicalité en ce moment fonctionne pour vous comme ceci : du sel sans pain. Commentaires Les méridiens de la vessie et des reins sont actifs le soir. C’est une période d’activité corporelle, une période d’inquiétude salée. Ici, l'activité de l'estomac est minime et la nourriture est la moins bien digérée. Ici, il faut surmonter la contradiction apparente, et la contradiction est à la fois théorique et quotidienne. Après tout, très souvent c'est le soir que s'installe la faim totale, on a encore plus envie de manger que le matin... Et en même temps, l'estomac est peu actif à ce moment-là. Et en général, les méridiens du système gastrique, de par leur nature, dépassent les méridiens de la physicalité, qui sont actifs en début de soirée. « Surmonter » signifie - ils suppriment l'activité sans leur causer de dommages - manger de la nourriture apaise nos peurs afin que les reins et la vessie n'en souffrent pas directement. Ce n'est que le soir que l'estomac lui-même est faible, et il vaudrait mieux qu'il n'abuse pas de son activité à ce moment-là... Il s'avère que la consommation alimentaire et la physicalité d'une personne sont dans une certaine « antiphase » vitale ! Mais c'est une question psychologique, je dirai plus, une question spirituelle sur laquelle nous reviendrons. C'est la « philosophie » de la vie ! Le matin et le jour sont « joyeux », ROCKY - doux le matin, amer l'après-midi. « Pain quotidien » - le matin pour soi, « pain et sel » - avec un ami au déjeuner. Car PRAGYAPARADH nécessite une énergie de substitution. Commentaires Le matin, le méridien de l'estomac est actif, les aliments sont mieux absorbés. A l’heure du déjeuner, c’est pire. Dans les deux derniers paragraphes, l’ancien proverbe devient clair : « Prenez votre petit-déjeuner vous-même, partagez le déjeuner avec un ami et donnez le dîner à votre ennemi. » Il ne reste plus qu'à savoir quiqui est un ami et qui est un ennemi... PRAGYAPARADH fait ressortir trois types de sel, qui commencent à nous contrôler et à nous absorber à travers les genoux, le plexus solaire et la pomme d'Adam. Ainsi naissent les peurs de JAKING, FUCKING et KLIA - tremblements, problèmes et malédictions. Ce processus doit être inversé, il doit nous consumer, pas nous. Commentaires Trois courbures du corps - au niveau des genoux, dans la région lombaire et dans le cou - forment une « porte » dans laquelle l'énergie la plus vitale peut à la fois sortir librement et stagner en cas d'« erreur d'esprit ». Dans le taoïsme, il existe des « courbures » similaires de QI, ZI et SHEN. Ces « portes » ou « coudes » ne doivent pas être confondus avec les « verrous » du yoga, appelés « bandhas », car ce sont des substances corporelles complètement différentes qui peuvent être situées à proximité dans la même partie du corps. « Serrures » et « portes » portent des fonctions énergétiques différentes, opposées de par leurs noms, et nous y reviendrons plus tard. Voici une sorte d’illustration de ce qui a été dit. Si nous contemplons l’obscurité, la peur surgit, surtout lorsque nous parlons de « TÉNÈBRES totales ». Il s’agit de l’une des craintes les plus primaires et fondamentales : celle des ressources. D'où vient-elle - nous laisserons la question pour plus tard... Mais ce qui est important, c'est que cette PEUR commence à nous consumer tellement que nous avons involontairement envie de fuir, d'allumer la lumière, de crier. C'est-à-dire, montrez une activité externe - "faites sortir le sel". Ce paragraphe nous encourage à ne pas laisser la peur nous consumer, mais à ABSORBER LA PEUR ELLE-MÊME ! C’est la même chose avec la peur des hauteurs : elle nous tire vers le bas, mais nous devons nous METTRE AU SOL !7. Les fantasmes et les errances corporelles, sinon tirer par le haut et tirer par le bas, donnent lieu à une « fuite » de ressource. Il doit couvrir les TÉNÈBRES dans l’OBSCURITÉ d’en haut, et les TÉNÈBRES d’en bas dans l’ENTRE. Ainsi, un téléviseur faible a PLUS DE RESSOURCES qu'un téléviseur fort en émotions. Car le Processus est le reflet de la Vie. Une mauvaise paix donne plus de SOLUTIONS qu'une bonne guerre Alors PRAGYAPARADH capitule. Commentaires Nos problèmes peuvent être divisés en deux types – conventionnellement « masculins » et conventionnellement « féminins ». Ce sont les obsessions et l'instabilité sexuelle - « du cerveau » et « de l'utérus » - « paranoïa » et « hystérie ». Et ici, la solution à ces problèmes se trouve dans ces mêmes « serrures » du yoga, tout d'abord dans deux d'entre eux, mais, en substance, vous devez apprendre à contrôler votre esprit et votre excitation corporelle excessive quant au « processus ». , nous parlons tout d'abord du processus de respiration holotropique, où l'accent est mis sur la composante corporelle de l'expérience. Nous pensons que l'accent mis sur la composante émotionnelle dans le processus psychédélique donne un premier résultat positif, mais conduit ensuite à un développement ultérieur en raison du phénomène de PRAGYAPARADH. C'est-à-dire, encore une fois, une fixation sur « ce qu'ils ont apporté »... Après tout, les activités de toutes les sectes totalitaires sont construites sur cette même fixation émotionnelle.8. PRAGYAPARADH est un abandon aux circonstances extérieures, l'essence d'une erreur de l'intellect. Il s’agit d’un programme global qui touche tous les aspects de la vie. L'abandon de PRAGYAPARADH lui-même crée une RECAPITULUTION, ou une ré-expérience totale. Ce qu’est la vie, le processus de revivre l’est aussi. CommentairesPragyaparadh est enfin défini ! Il s'agit d'un terme sanscrit, que nous révélons à travers le terme RECAPITULUTION, qui dans la littérature de langue russe est traduit par REVIEW, ou REVIEW. Dans les livres de Carlos Castaneda, trois termes sont donnés pour désigner ce phénomène : récapitulation, souvenir et rappel, qui doivent être considérés simplement comme différents niveaux d'un même phénomène global. Sur la droite se trouve une illustration du processus de RECAPTULATION - le Bouddha Victorieux, Ushnishavijaya, qui est vénéré pour se débarrasser de la peur de la mort et des maladies de l'esprit. Sous la forme d'une déesse, c'est la pensée éclairée de tous les bouddhas, la déesse de la longue vie. Il s'agit d'un tankha bouddhiste, mais des illustrations similaires peuvent également être trouvées dans des icônes chrétiennes (nous les donnerons plus tard). Ainsi, le visage gauche est tourné vers le passé, il est sombre et reflète les valeurs perdues. Le visage droit est jaune et fait face au futur. L’avenir est caché derrière un mur jaune trouble d’acceptation de tout ce qui a été rejeté dans le passé, c’est pourquoi il n’est pas clair. Le rôle principal dans ce processus d'acceptation est joué par l'énergie du vaisseau énergétique jaune - l'estomac, dont il est question ci-dessous. Note/44103/