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De l'auteur : Cet article a été publié ici : Une femme dit à son mari : « Mon cher, dis-moi, ta mère est restée silencieuse toute sa vie, mais elle vit avec ton père, et ma mère n'est pas restée silencieuse, et mon père l'a quittée... Y a-t-il un juste milieu ? » Le mari se tait et réfléchit. A ce moment-là, le fils (3 ans) dit avec assurance : « NON ! Considérons deux options : 1. Quand il ne s’agit pas de ce qui est vrai et de ce qui ne l’est pas.2. Quand la vérité parle par la bouche d’un enfant. D'abord. Le fait est que l'enfant écoute tout ce que disent les parents, analyse (autant qu'il le peut) et donne une réponse. Les adultes n'ont souvent qu'à en rêver, car on peut répéter plusieurs fois la même question à une personne habitant à proximité, mais elle ne l'entendra pas. Et ce n’est pas non plus le problème de cette personne, c’est le problème de deux personnes mariées. Les gens ont l'habitude de beaucoup s'accrocher à leurs proches, à toutes leurs peurs, à tous leurs chagrins, à leurs propres problèmes qui ne sont que dans leur tête... Un petit enfant est encore à l'âge où on peut l'atteindre, où il écoute, puisqu'il ne l'a pas encore fait. La coupe déborde de la dernière goutte. Habituellement, les parents, lorsqu'ils marchent avec leur bébé, lui interdisent de descendre le toboggan ou de courir dans les flaques d'eau, car le bébé pourrait se blesser ou attraper un rhume. Mais qu’est-ce qui empêche un parent de porter des bottes plus chaudes et des vêtements qui peuvent se salir, afin qu’il puisse être calme ? L’envie de montrer quel bel enfant il a. Mais ce désir n’a rien à voir avec l’enfant lui-même. Si une mère éprouve de la peur en regardant son bébé glisser sur un toboggan ou grimper sur une échelle élevée, il est alors important qu’elle sépare sa peur de celle du bébé. Si vous n’y parvenez pas, alors pendant cette période, vous avez la possibilité de « partir pour affaires ». Que doit faire un enfant pour que ses parents se sentent bien (ne pas ressentir de peur ou d'émotions négatives) ? Il (l’enfant) doit alors cesser complètement de ressentir. Et après cela, il cessera d'entendre ce qu'on lui dit, puisqu'un parent tout à fait merveilleux se formera dans sa tête, qui grondera et aura peur, etc. Deuxièmement. Puisque l’esprit de l’enfant n’est pas encore jonché de peurs et de doutes, il se sent mieux face à son intuition. Il n’a pas besoin qu’on lui dise ce qui est vrai et ce qui est fiction. En montrant par son exemple parental qu'il y a la vérité, l'enfant ne pensera même pas à mentir. Il ne connaîtra même pas un tel mot. Mais il pourra fantasmer, sous-entendant ainsi : « Je me développe normalement ». Bien sûr, si les parents disent la vérité à l'enfant, mais qu'eux-mêmes, en éteignant l'appel téléphonique entrant, commentent que «je ne suis pas à la maison», l'enfant comprendra que mentir est normal. Et après un certain temps, le parent recevra une réponse, sans même comprendre d'où vient le « vent ». Que voudriez-vous recommander à vos chers parents ? Partagez vos peurs et celles de votre bébé. Tenez-vous à l'écart et ayez tranquillement peur de vous-même, mais pour que le bébé ne voie pas. Exemple : Récemment, il y a eu une telle situation à la maternelle : mon fils (2,8 ans) a décidé de montrer sa force et a soulevé le banc (j'ai vu). ce n'est pas la première fois, donc j'ai plutôt bien réagi calmement), la tante assise à côté de moi a crié : « Tu vas le laisser tomber sur ta jambe ! Mon fils a eu peur de sa tante, il a couru vers moi et s'est mis à pleurer. Ceux. il n'avait pas peur de la chute du banc, mais il avait peur de la peur de cette tante. J'ai calmé le bébé, après quoi il a continué les tests. Et j'ai expliqué à ma tante que ce n'est pas la première fois qu'il fait ça. Conclusion : il vaut mieux laisser tomber le banc, en le soutenant à temps, que de crier de loin « tu vas le laisser tomber ! sur n'importe quoi, simplement faire peur au bébé afin de montrer votre « complicité » devant le parent.2. Dites la vérité et rien que la vérité. Si vous êtes fatigué et que vous ne voulez pas parler au téléphone, il n'y a rien de plus simple que de le dire en répondant à l'appel ou en éteignant le téléphone ou le son à l'avance. Exemple : un enfant décroche le téléphone et. il y a une tante avec qui la mère ne veut pas parler. La mère demande au bébé de lui dire qu'elle n'est pas à la maison, et le bébé parle au téléphone : « Maman m'a dit de te dire qu'elle n'est pas à la maison » Conclusion : il vaut mieux répondre au téléphone soi-même, avec ! tout ce que ça implique