De l'auteur : Article utile pour les personnes travaillant avec des pratiques corporelles QU'EST-CE QU'UN BLOCAGE DANS LE CORPS Traces d'insultes, de déceptions, de trahisons, de trahisons, etc. se manifestent sous la forme de zones de tension dans le corps : du point de vue de la psychologie, un blocage est une tension stable du corps, derrière laquelle se cache un véritable problème humain du point de vue de l'anatomie fonctionnelle, un ; le bloc est un état de tissu, caractérisé par son raccourcissement, sa densité et sa rigidité accrues ; du point de vue de la bioénergie, un bloc est l'encapsulation d'une certaine partie de l'énergie dans une certaine partie du corps. Le mécanisme d'apparition des blocages : à un moment de stress psychologique, le corps se contracte et une personne éprouve toute la gamme d'émotions, des plus négatives aux plus positives et sexuellement chargées. Si les émotions sont reconnues et exprimées, et qu'elles sont suivies d'une réaction, la tension disparaît et la situation se déplace sur le plan social et sera à l'avenir régulée par des lois sociales. S'il n'y avait pas de réaction ou si la personne se retenait, alors la tension - totale ou partielle - persistait, conduisant à l'apparition d'un certain nombre de blocages spécifiques dans le corps, et au niveau de la société la situation « restait bloquée ». La compression du corps ne se produit pas par hasard : ce sont les muscles qui sont regroupés pour une réponse adéquate. La compression doit être suivie d'une réaction, c'est-à-dire repousser un coup de toutes les manières possibles sur une personne - physiquement, énergétiquement, émotionnellement. La manière de répondre la moins coûteuse sera le réflexe (basé sur des réflexes conditionnés et inconditionnés), la plus énergivore consiste à repousser une attaque au niveau mental. Pour ce faire, la concentration d'énergie se produit dans les parties du corps qui doivent reproduire une attaque de représailles (par exemple, jeter un bras lors d'une frappe). Si la libération ne se produit pas, l’énergie restera là, provoquant une sensation de douleur et d’inconfort. Le blocage reste dans le corps jusqu'à ce que la situation soit résolue par réaction ou (dans de rares cas) après un traitement, ou que le problème cesse d'être pertinent, ce qu'on appelle il y a des années. Ainsi, la croissance spirituelle, qui se traduit par une revalorisation naturelle de nombreux événements du passé, conduit souvent à des transformations corporelles importantes et, à l'inverse, la stagnation spirituelle conduit invariablement à une stagnation chronique du corps. Une situation répétée du même type permet de parler. d'un schéma comportemental stable, ce qui conduit à son tour à l'émergence d'un schéma moteur. L'évolution du blocage dans le corps est la suivante. Au début, il s'agit d'une structure complètement étrangère, et elle est ressentie comme telle ; la personne éprouve un inconfort, un spasme ou une douleur, distingue clairement les limites du blocage et est capable de l'imaginer sous la forme d'un objet étranger, comme un objet. couteau, clou, pierre ou morceau de glace. À partir d’un certain moment, le blocage devient un symbiote au lieu d’un étranger, et la personne cesse de le ressentir. Cela signifie que l'événement a été refoulé ou s'y est habitué. C'est ainsi que nous nous habituons aux circonstances personnelles, à des situations insupportables, supportons l'humiliation et la douleur dans les relations, etc. Derrière ce type de blocage, il peut y avoir de la peur ou un trait de caractère qu'une personne connaît d'elle-même, qu'elle considère comme négatif, mais qui ne fera rien pour y remédier, ne le considérant pas comme possible ou simplement s'y habituant. Dans le corps, ces blocages sont ressentis comme une tension habituelle, légèrement exprimée, se rappelant constamment d'elle-même. Si, après un traumatisme psychologique, une personne développe une croyance ou une attitude qui influencera par la suite toute sa vie, des blocages s'accumulent au fil du temps dans le système de la personnalité. De plus, en règle générale, les blocs vivent rarement seuls, préférant « s’installer en colonies ». Chacun d’eux accomplit sa propre tâche strictement définie et, ensemble, ils forment des « grilles » – des constructions formatrices de la personnalité. Les blocages sont directement liés à la nature de l'action et à la nature de la réponse, c'est-à-dire des blocs apparaissent là où l'impulsion a été bloquée et n'occupent pas le premier espace libre. Ainsi, si vous vouliez vous exprimer, mais que vous ne l'avez pas fait, vous développerez une tension spécifique au niveau du cou,.