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La nature du développement de l'organisation de la personnalité dépressive-masochiste est enracinée dans les premières périodes de développement, où l'on peut retracer le conflit principal : entre le besoin de l'enfant d'être un objet d'amour bien-aimé (généralement la mère) et d'avoir l'expérience de souffrant en même temps de l'objet d'amour. L’histoire de vie de ces individus montre que les parents rejettent la responsabilité de leurs échecs dans la vie sur l’enfant. Dans ce cas, l'enfant ne se sent pas aimé et important pour le parent et, dans son développement ultérieur, se perçoit comme « mauvais » et indigne de tout ce qui est bon. Quels traits de personnalité sont dominants chez les personnes ayant une organisation dépressive-masochiste ? 1. Ces personnes sont très sujettes à des relations de dépendance avec les autres.2. Avoir des difficultés à réguler leur agressivité.3. Ils sont très autocritiques en raison de l'activité excessive du Surmoi. Les personnes ayant ce type d'organisation personnelle n'ont pas la possibilité de recevoir des impressions très vives, leur sens de l'humour est limité - en règle générale, ils sont très. sérieux, plutôt très consciencieux, très responsable, extrêmement strict sur leurs erreurs, critique aussi bien envers eux-mêmes que envers les autres, si quelque chose ne répond pas à leurs attentes (relations avec les autres, produits de leurs activités, etc.), alors ils devenir déprimé. Les individus plus matures sont dans une position de masochisme moral : ils sont enclins au sacrifice de soi, à la subordination aux autres par amour, éprouvent souvent des sentiments de culpabilité (on peut ici observer un certain paradoxe : « Je contrôle ceux qui m'entourent pour se sentir coupable »), et peut également devenir déprimé en raison d'un sentiment constant de culpabilité. Les individus ayant une organisation dépressive-masochiste peuvent également tomber dans la dépression en raison de la suppression des aspirations agressives, au lieu de se détendre, une dépression se produit ; Ils sont extrêmement sensibles aux critiques extérieures, ils en ont peur, ils essaient de tout mieux faire pour ne pas être critiqués. Symptômes de dépression que l'on peut observer : la pensée et le comportement deviennent lents, ils ont des difficultés à se concentrer, une sensation de « gel » interne et de froideur hante littéralement ces personnes. La durée de la dépression varie de plusieurs jours, semaines à un an ou plus (épisode dépressif majeur). Lors d'épisodes dépressifs majeurs, des troubles autonomes sont observés : perte d'appétit, perte de poids, se traduisant par une somnolence constante ou à l'inverse des difficultés d'endormissement, une diminution du comportement sexuel et du désir. Un épisode dépressif majeur nécessite également un traitement médicamenteux. Les individus ayant une organisation narcissique sont également sensibles à la dépression, mais pour eux celle-ci est généralement plus « superficielle », de plus courte durée (généralement jusqu'à plusieurs jours) et apparaît en cas de reconnaissance insuffisante de l'extérieur. en souffrant leur grandeur. PS : si l'on considère le circuit neuronal de la dépression, il semble que l'activité cérébrale soit réduite, puisqu'on observe une inhibition générale, une dépression et même des troubles de la mémoire, mais en même temps on constate une violation de la formule du sommeil, anxiété, qui indique l'activité de certaines zones du cerveau. Grâce à l'imagerie de zones du cerveau, un dysfonctionnement du 25e champ (une très petite zone du cerveau) a été identifié. Le 25ème champ est étroitement lié à l’amygdale, responsable de l’état de peur et d’anxiété. Le champ 25 est connecté à l’hippocampe, qui est le centre de formation de la mémoire. De plus, le champ 25 est connecté au lobe insulaire, qui participe à la formation des émotions. La taille du 25ème champ peut être réduite en cas de caractéristiques génétiques (diminution du transport de la sérotonine), ce qui augmente le risque de dépression.