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Dès l'enfance, les mères « fortes » apprennent à leurs filles à supprimer leur faiblesse (féminité) ; Il leur est interdit d’exprimer leurs émotions et leurs sentiments, ou de montrer des larmes. Comment pourrait-il en être autrement, si les grands-mères n'avaient pas le temps de se déguiser et de flirter, elles devaient survivre et « élever » une terre vierge. Et il n’était pas d’usage d’exprimer son opinion. Quand il était temps de prendre soin de soi et de ses désirs, quand les « sept sur les bancs » n’étaient pas nourris et que le mari était en guerre ou sous le choc. Alors que l'ancienne génération de femmes travaillait dans les champs et les usines, la jeune génération participait aux tâches ménagères et s'occupait des plus jeunes. Il n’est « pas rentable » d’être une femme faible dans de telles conditions. Ce « scénario » comportemental est profondément ancré dans la psyché de l’inconscient, comme la seule véritable option de survie. Être fort et en contrôle est un excellent choix de comportement pour survivre. Les grands-mères ont transmis avec soin et persévérance cette compétence de survie à leurs filles, leurs filles à leurs enfants et, au-delà, de génération en génération. Les filles étaient constamment stressées. Mais tout a son prix, et le besoin d’être fort (d’assumer la responsabilité masculine) est aussi une féminité refoulée. Être une femme n’est pas rentable ; il n’est pas possible de survivre dans ce « rôle ». Lorsqu'une femme, étant forte, subit un stress prolongé et ne met pas le temps à récupérer, son équilibre hormonal est perturbé. La pathologie endocrinienne entraîne de multiples changements dans l'organisme, ce qui contribue à la production de grandes quantités d'hormones mâles, ce qui entraîne une suppression du système reproducteur féminin, une diminution de la libido et des maladies psychosomatiques (formations diverses, problèmes de cycle, de conception, etc. ). Beaucoup, d’ailleurs, commencent à se condamner eux-mêmes pour leur manque d’efficacité et leur faiblesse, ce qui ajoute « de l’huile sur le feu ». La répression de la féminité conduit à la perte de soi en tant que femme, à une incompréhension de ses véritables manifestations, désirs et besoins, et à l’incapacité de construire une relation saine avec un partenaire. Parce qu'une femme « masculine » attirera des hommes « féminins ». Heureusement, aujourd'hui, les opportunités et les responsabilités qu'avaient nos grands-mères et nos mères ne manquent pas. Il n'est plus nécessaire de cacher vos griefs, votre colère, vos larmes et de les réprimer. Nous vivons à une époque où le libre arbitre est possible et nous avons le droit de choisir ce que nous aimons. Alors, chères femmes, prenez soin de vous, écoutez votre intuition, prenez du temps pour votre repos et vos envies. Donnez-vous la permission d'être féminine!