Nos émotions ont un impact énorme sur chacun de nous. Le sentiment de bonheur peut vous élever si haut que les problèmes apparaîtront comme des grains de sable dans l'espace, tandis que la tristesse peut faire d'une taupinière une taupinière, peignant tout autour dans des tons gris et noirs. Vous voulez soit fuir les émotions douloureuses, soit. Jetez-les. Les défenses psychologiques fonctionnent de cette façon, mais ce n’est pas une bonne façon à long terme. Tôt ou tard, votre « capacité » interne débordera et un flux incontrôlable d’émotions volera dans toutes les directions, comme la lave d’un volcan. Et cela, en règle générale, ne se termine pas bien. Vous pouvez apprendre à contrôler vos émotions et à vous défouler de manière respectueuse de l'environnement, même si maintenant cela semble irréaliste. GratuitPik1. Apprenez à connaître vos émotions Nous éprouvons rarement une seule émotion. En règle générale, il y en a plusieurs. Par exemple, la honte avec la culpabilité, la tristesse avec le ressentiment, à l'intérieur duquel se trouve la colère réprimée. Toutes les émotions se reflètent dans notre corps. Il n’y a pas d’émotions sans réactions corporelles. Commencez votre connaissance en faisant attention à la façon dont votre corps réagit. Où apparaît la tension ? Est-ce qu'il fait chaud ou est-ce qu'un frisson vous envahit ? Écoutez vos sentiments, essayez de les partager. Plus vous pratiquez cela, plus vite vous prendrez la position d'observateur, quittant l'état où les émotions vous envahissent complètement.2. Examinez de plus près vos pensées. Les pensées sont l’un des déclencheurs qui peuvent déclencher tout un feu d’artifice d’émotions. Cela se produit parce que chaque mot dans notre cerveau est associé à une image et que les sentiments correspondants y sont attachés. Si vos pensées, comme les chats, errent d’elles-mêmes, alors vous ne pouvez même pas rêver d’un quelconque contrôle sur vos émotions. Les pensées d’horreur sont souvent déconnectées de la réalité et créent des sautes d’humeur sans raison. Réparez-les de la manière qui vous convient afin de vous en souvenir, puis, lorsqu'ils apparaissent, mettez-les à la porte à temps.3. Changez vos pensées, et ensuite vos sentiments. Si vous avez suivi les conseils du point n°2, alors vous êtes convaincu par votre propre expérience du pouvoir de vos pensées. Penser d’une certaine manière est une habitude. Il ne disparaîtra pas d’un simple claquement de doigts en un instant. Cela prend en moyenne 2 à 4 semaines. Arrêtez les pensées destructrices et remplacez-les par des pensées positives, et des émotions avec un signe plus suivront. Vos sentiments sont votre responsabilité Quoi qu'il arrive, vous seul prenez la décision de vous abandonner ou non au pouvoir des émotions. Bien entendu, nous ne pouvons pas influencer les premières impulsions de la triade « combat - gel - course », puisque celle-ci est décidée par le cerveau sans tenir compte de l'opinion de notre conscience. Mais si vous avez appris à identifier vos sentiments, éliminé les pensées effrayantes, maîtrisé la méta-position d'observateur, alors les chances que vous tombiez sous une avalanche d'émotions avec ou sans raison sont extrêmement faibles. Mais n'y pensez même pas. vous gronder si cela arrive. Tout le monde a des blessures. Et il est impossible de savoir à l’avance qui ou quoi, comment et quand y entrera. Ici, il est important de ne pas chérir la blessure, mais de se tourner vers un psychologue et de la guérir. On nous apprend à aller chez le médecin en cas de blessures physiques, mais nous ne traitons pas les blessures psychologiques de la même manière. C’est bien mieux d’être en bonne santé physiquement et psychologiquement, n’est-ce pas ?5. A bas le « chewing-gum mental » Vous souvenez-vous de la façon dont une chanson s'enfonçait dans votre âme et tournait dans votre tête sans fin ? Et même pas l’intégralité, mais quelques extraits ? La même chose se produit avec des réflexions sur des sujets différents. Le cerveau essaie de les trier sur des étagères, mais il n'y parvient pas, il continue donc à les garder au centre de l'attention. Le « chewing-gum mental » consomme beaucoup de ressources, ne laissant ni le temps ni l'énergie pour des problèmes vraiment importants qui nécessitent des solutions. Cela se traduit par un mauvais bien-être physique, de la fatigue, une insatisfaction envers soi-même et d'autres sensations « agréables ». Y faire face n'est pas si difficile. Commencez à enregistrer sur papier les pensées qui surgissent spontanément dans votre tête. Une semaine de tels enregistrements vous donnera une image presque complète. Dans ce chaos de pensées automatiques auparavant incontrôlables, vous pourrez mettre en évidence ce qui est vraiment important et jeter les « déchets » de cette liste. +7 966 876 2020