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De l'auteur : Pour moi, ce texte n'est pas encore terminé ni complété. Mais même dans cette version, j'aimerais le transmettre à mes clients - ceux qui ont déjà établi eux-mêmes et ceux qui ne sont pas encore arrivés. Je ne peux pas m'en passer. Une anecdote qui illustre bien l'attitude d'une mère envers son fils. Deux amies discutent : - Comment va votre fille - Super, il l'aime. aux stations balnéaires. - Et votre fils est une garce, alors achetez-lui un manteau de fourrure. Cette note s'adresse principalement aux mères qui élèvent leur fils sans la participation du père de l'enfant à ce processus. Je dois assumer à la fois leur rôle et celui du « père ». Même si des cas individuels sont examinés lors des consultations, je vois souvent des causes de problèmes similaires chez les femmes qui viennent me voir. Il n’est pas encore accepté dans la société de reconnaître qu’un enfant a déjà un père de sang et qu’aucun autre homme ne peut devenir son père. En fait, il est plus facile pour un fils d'accepter un autre homme dans la famille s'il voit qu'il ne prétend pas prendre la place de papa, qui en réalité est occupée depuis longtemps. La liste des « devrait » d'un beau-père n'est pas si longue (si l'on regarde son attitude envers son beau-fils) : le beau-père construit sa relation avec l'enfant, de son côté, établit le contact avec lui du mieux qu'il peut. Bien entendu, il montre à l’enfant un exemple de la relation entre un homme et une femme. Par ailleurs, le rôle du beau-père est particulièrement significatif dans la mesure où c'est à travers l'exemple de son couple avec sa mère que le garçon apprend le modèle des relations conjugales. Si un tel modèle n’est pas présent dans l’entourage immédiat du fils (par exemple, un couple de grands-parents ou la famille d’un oncle/tante), alors ce qu’il voit deviendra décisif pour ses relations futures. Les questions de punition d'un enfant par son beau-père, ainsi que les questions d'éducation, sont résolues par le consentement de sa propre mère à ces punitions ou actions éducatives, exprimées devant le garçon. Ici, c’est la mère qui devra assumer d’abord la responsabilité et l’autorité, comme le père, et non le rôle apitoyant de la « mère ». Il est important pour un enfant de voir la coordination des actions des adultes, de voir que la mère soutient le beau-père avec son autorité. Peu importe qu’un nouveau conjoint apparaisse ou non dans la vie d’une femme, elle devra de toute façon supporter cette double charge d’élever son fils/fille. Situation 2. Une femme assume la pleine paternité. Très souvent, je constate la tendance des clients à « retirer » le père au fils seul. Cela ressemble à ceci : toute information sur le père est étouffée, la vérité sur le père, la relation avec lui est cachée, la relation entre le père et le fils est déformée et inventée. Voici «connard irresponsable», «t'a abandonné» et «il était ivrogne» et tout ce que vous aimez. Le ressentiment conjugal n’a pas sa place dans le monde des enfants. Les adultes trouveront un lieu pour en discuter et les partager – entre adultes ou en consultation avec un psychologue. Et plus ils ne le touchent pas, plus sa vie d’adulte pourra être heureuse à l’avenir. On a dit à plusieurs reprises que l'enfant s'identifie au parent : si papa est mauvais, alors « je » est mauvais aussi. Cela se manifestera par une violation de l'estime de soi adéquate chez un tel enfant ; il y aura des distorsions dans différentes directions. S'il n'y a aucune information sur le père, cela crée d'énormes tensions et dissonances internes, puisque tous les enfants sont conscients que les deux parents sont nécessaires à leur naissance. Situation 3. Implication constante dans les affaires de l’enfant. Un grand nombre de femmes dominantes dans la famille, et surtout le pouvoir féminin, inculqueront au garçon non pas la masculinité, mais le désir de trouver une femme à qui il se soumettra. Les interminables « je sais ce qui est le mieux » et « fais attention, ne fais pas ça… » sont un chemin direct vers une telle soumission. La meilleure chose qu’un garçon puisse obtenir est de comprendre qu’il est responsable de ses actes. Après tout, il devra alors assumer la responsabilité de lui-même, de sa famille, de son adoption.