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Nous vivons dans une société où nos intérêts entrent en collision avec ceux des autres. C'est inévitable. Et c’est déjà un conflit qui nécessite un débriefing. Comme on dit, il n’y a personne à blâmer dans un conflit, il n’y a que des raisons. Tout irait bien - prenez-le et décidez, mais dans notre société, il est encouragé d'éviter la confrontation directe et d'éviter de telles situations. Même dans l'enfance, on nous donne des instructions selon lesquelles nous devons être des filles bonnes et bien élevées, mais, comme vous le savez, elles ne jurent pas, ne créent pas de problèmes et ne deviennent pas hystériques. Ils croient en la vérité et en l’autorité incontestée de maman et papa, écoutent leurs aînés et, bien sûr, gardent le silence s’ils n’aiment pas quelque chose. Ce sont les bons enfants, qui conviennent aux parents et à la société dans son ensemble. Mais il y a quand même des émotions, même si on les garde sous silence. Plus précisément, pas « même », mais précisément à cause du silence et de leur « déglutition », ils ne réagiront pas, mais s'accumuleront en nous, entraînant des conséquences désagréables. Une émotion est une réponse à un stimulus. Les émotions sont des réactions basiques et archaïques à la réalité environnante, à tout changement qui se produit. Ils ne peuvent pas être bons (joie, fierté, confiance, intérêt) et mauvais (colère, irritation, ressentiment, peur). Si les émotions sont adéquates, elles sont nos alliées. Prenons l'exemple de l'agression. Cette émotion est le moteur, l'émotion qui nous fait nous lever le matin et avancer vers de nouveaux objectifs, vers le leadership dans quelque chose. L'un des types d'agression est la colère sportive. En situation de compétition, la colère déclenche la production d’adrénaline, qui mobilise l’organisme pour obtenir des résultats. Imaginez un athlète courant vers la ligne d’arrivée se sentant heureux plutôt qu’en colère. Il se sent déjà bien : les oiseaux chantent et ravissent les oreilles, le soleil se réchauffe, certains courent et se dépêchent à proximité... Quelle est la ligne d'arrivée, l'heure, les résultats ?! La vie bat déjà son plein... Crier, pleurer et fuir : pourquoi il est impossible de ne pas réagir au stress Revenons sur le passé, il y a 250 millions d'années. C’est alors que s’est formée la partie la plus ancienne de notre cerveau, la partie reptilienne. Même si ce n’est pas la seule partie du cerveau, c’est la plus puissante. C'est lui qui réagit en situation de stress (en situation de danger, de conflit, de surprise). Le cerveau reptilien réagit de quatre manières : l'agressivité (le désir de se défendre) ; l'évitement (le désir de s'enfuir) ; En fait, c’est une liste complète de ce dont nous sommes capables dans une situation stressante. Nous ne sommes pas capables de penser, nous pouvons seulement réagir de la manière indiquée. Il s’agit d’un réflexe inconditionné fondamental associé à la survie. Vous pouvez facilement analyser quel type est le plus typique pour vous. En règle générale, les comportements dans les situations stressantes nous sont transmis par la famille, par les personnes qui comptent le plus pour nous. Vous pouvez en apprendre davantage sur vos querelles domestiques et comment les gérer dans un mini-cours gratuit Querelle de chéris... Comment sortir des querelles sans perdre sa dignité. Alors, quelle réaction donnez-vous le plus souvent dans une situation de conflit ? Agression Vous commencez à crier, à casser la vaisselle, à attaquer avec vos poings Évitement Le conflit est mûr, mais vous ne le résolvez pas : vous partez, vous fuyez, rompez les relations Stupeur Vous avez besoin de vous allumer, mais vous êtes coincé (plus tard, bien sûr, vous découvrirez comment réagir, mais maintenant vous êtes là, comme si vous aviez rempli votre bouche d'eau) Faire semblant d'être mort Vous commencez à sangloter, à vous lamenter, à faire pression sur la pitié de toutes les manières possibles (pauvre, mécontent) Plus vous avez de modèles pour réagir au stress (idéalement les quatre dans des proportions égales), mieux c'est Comprendre, pardonner et lâcher prise : pourquoi il est important de laisser une issue aux émotions Si une réaction est une sorte d'action en réponse à un stress. stress, alors une émotion est notre attitude évaluative envers ce qui se passe. Tout conflit prolongé provoque une gamme constante des mêmes émotions négatives, et le problème passe progressivement du niveau mental au niveau physique. En termes simples, nous commençons à tomber malade. C’est pourquoi il est important de résoudre les conflits et de vivre pleinement ses émotions. Dans un premier temps, l’influence des émotions négatives s’exprime par des maux physiques isolés et de courte durée. Mais plus il y a de problèmes non résolus et tordus