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Avec un degré de probabilité élevé, on peut affirmer qu'il n'existe pas de moyens efficaces à court terme pour corriger les dépendances en général, et la dépendance à l'alcool en particulier. Et en même temps, beaucoup affirment qu'il existe de telles méthodes, comme le « codage » (une méthode qui ne prend pas plus d'une heure) ou la prise de médicaments qui bloquent l'utilisation de l'éthanol (disulfirame, naltrexone, acamprosate). , en combinaison avec l'alcool, provoque des réactions très désagréables ou supprime le « high » de l'éthanol. Admission d'un mois à un an. Ou TCC (thérapie cognitivo-comportementale) (ou PNL, programmation neurolinguistique) avec développement d'un réflexe conditionné désagréable à l'envie d'alcool. Ou les pensées et les déclencheurs qui déclenchent les envies. Apparemment, la méthode prend de plusieurs à 10 séances. Auparavant, il y avait aussi le chlorhydrate d’apomorphine, une véritable bête. Un émétique utilisé pour tenter de provoquer un réflexe nauséeux en buvant de l'alcool. Et ils ont appelé ! De pauvres alcooliques s'asseyaient devant des bassines et vomissaient tellement... Eh bien, prenons le bon vieux disulfirame. En effet, si vous l'utilisez tous les jours, et que vous prenez consciemment ou accidentellement de l'éthanol, alors la réaction du corps qui en résultera inévitablement est en effet très désagréable, on pourrait même dire sévère. C'est l'essoufflement, l'hyperémie de la peau, la tachycardie, l'anxiété, la peur et l'absence de plaisir. Une fois éprouvé cela, le toxicomane évitera de les prendre ensemble. Alors, l’alcoolique qui veut vraiment « guérir » en arrive à la conclusion qu’il a trouvé une « méthode ». Et il commence à prendre du disulfirame régulièrement et à ne plus prendre d'éthanol. Et tout va bien. Il ne boit pas. Un mois, deux, trois maximum. Mais comme l'addiction est une pathologie profonde et que le « virus » de l'usage se situe au niveau de la mission et du sens de la vie (la vie sans alcool perd son sens), alors après une certaine période d'abstinence, le toxicomane se rend compte avec bonheur qu'il a trouvé une « méthode »". Et cette « méthode » l’aidera à tout moment. Quand c'est nécessaire. Vous pouvez désormais boire de l’alcool en toute sécurité. Il existe une méthode ! Et il boit de l'alcool. Pendant des années. Et il meurt en se consolant du fait qu'il peut s'arrêter à tout moment ! Il existe une méthode... Certes, dans un avenir proche, des « méthodes encore plus efficaces » seront inventées. Au niveau biochimique. Ou bien ils implanteront des électrodes dans le cerveau. Ou autre chose qui rend l'utilisation impossible. Pour le plus grand plaisir des addicts. Pour la consommation. Pour continuer la dépendance. Tous les alcooliques arrêteront de boire. Tous. Et seuls certains y parviendront de leur vivant.