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Article 19/04/2022"Coupes sur le corps..." Que pensez-vous que votre enfant fait maintenant, quelles sont ses pensées, quels sentiments excitent son cœur, qu'est-ce qui le fait « aller au bord » ? Tout au long de notre vie, chacun de nous doit faire face à des situations qui sont subjectivement vécues comme difficiles et difficiles, perturbant non seulement le cours habituel de la vie, mais affectant également directement notre état mental et physique. change la perception du monde qui nous entoure et la compréhension de notre position de rôle dans cette vie. Sommes-nous maîtres de notre vie, pouvons-nous contrôler les événements qui s'y produisent, choisir nos parents, nos amis, nos amis pour nos enfants ? En fait, une personne n'est pas entièrement le « maître » de sa vie, elle est très probablement le « maître » de son style de vie. Une personne avec un psychisme sain dans les moments de crise difficiles choisit des stratégies de « coping » adaptatives pour surmonter ces difficultés. Une personne immature, impressionnable, mentalement instable ou simplement « brisée » ne voit pas de moyens constructifs de « faire face » pour surmonter les situations de crise. Le « Coping » est une manière individuelle d'interagir avec une situation conformément à sa propre logique, à son importance dans la vie d'une personne et à ses capacités psychologiques. Le « coping » fait référence à des tentatives cognitives, émotionnelles et comportementales en constante évolution pour faire face à des exigences externes ou internes spécifiques qui sont évaluées comme du stress ou qui dépassent les ressources de la personne pour y faire face. Le but psychologique du coping est d'adapter une personne à la situation de vie actuelle de la manière la plus constructive et la plus prudente possible. Les comportements d'adaptation surviennent dans une situation de crise dont la survenance nécessite une réponse physique et psychologique de la part de l'adolescent. Vous n'êtes pas obligé de choisir. La tension mentale naissante oblige l’adolescent à entreprendre une certaine action pour soulager cette tension, ce qui provoque ni plus ni moins un sentiment de « douleur mentale ». L’enfant essaie de soulager cette douleur ou de la stopper complètement en s’infligeant diverses coupures. A ce moment, l'enfant ne veut pas se suicider, il essaie seulement de soulager la tension provoquée par la douleur mentale. Un comportement d’automutilation est un appel à l’aide : « Un appel à l’aide », un appel. Protestation, vengeance : provoquée par un sentiment de « ressentiment », « d'injustice ». « Que ce soit aussi douloureux pour elle que pour moi », « Par mon action, je me vengerai d'eux tous... ». Évitement d'une situation de vie intolérable : provoquée par un changement de situation de vie inacceptable pour l'individu (divorce, dettes, perspective d'être démis de ses fonctions, sanction pénale, etc.). Évitement de la souffrance : déclenchée par une souffrance physique ou psychologique « Je n’en peux plus – qu’elle se taise, que ça s’arrête… » La mort ou l’automutilation semblent être le moyen d’y mettre fin. Se punir soi-même : une manière inadaptée de « soulager » les sentiments de culpabilité est l’auto-punition, notamment par le biais d’actes suicidaires. Sacrifice : provoqué par le besoin « d'expier » des actions réelles ou fantastiques (dans le cas de la dépression, de l'illusion). Réunion : Un motif qui vient du fantasme de retrouver un être cher après la mort. La mort n’est pas reconnue comme la finitude de la vie ; elle est romancée. Le choix le plus souvent inconscient de faire face à une situation de crise (faire face à une situation de crise) dépend de plusieurs facteurs - la personnalité de l'adolescent et la situation actuelle. Un événement peut avoir différents degrés d'impact traumatique sur une même personne à différentes périodes de la vie. De quoi un adolescent a-t-il besoin lorsqu'une situation de crise apparaît dans sa vie et que ressent-il ? Tout d’abord, il a besoin de soutien et d’acceptation : le soutien de toute personne qui sait écouter et accepter sa douleur. L'enfant qui a parlé de son problème a déjà partiellement réalisé son existence et a accepté son impuissance dans le fait qu'il ne sera pas lui-même en mesure d'y faire face ; il ne voit tout simplement pas de moyen de résoudre cette situation ; Donc plus loin