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Il n'y a pas de purs « tyrans » ou de « victimes ». Nous prenons une position, puis une autre. Si, lors de la pression exercée sur une personne, elle ressent encore une douleur dans son âme, ou du moins un sentiment subjectif de douleur, si elle a en mémoire le modèle tyrannique du comportement parental, alors, en règle générale, la personne se comporte comme un " tyran." Lorsqu'une personne ne veut pas assumer l'entière responsabilité, avant tout, de sa vie et de son destin, ne peut pas contrôler ses émotions et profiter de chaque jour, alors elle aura toujours son propre "tyran", à qui on peut " attribuer »la mauvaise humeur et toutes sortes de problèmes. Cependant, de ce fait, ils deviennent eux-mêmes des « tyrans » par rapport à ceux qu'ils considèrent comme la source de leurs ennuis et de leurs émotions. C'est un tel tourbillon ! Et il existe aussi une variante possible de la « tyrannie » par rapport à soi-même - lorsqu'il n'y a pas d'agresseur approprié à proximité, nous commençons à montrer des sentiments négatifs envers nous-mêmes : nous nous blâmons, sommes insatisfaits de nous-mêmes, nous nous grondassons. avec les derniers mots, condamnez, admettez les pensées de ne pas vouloir vivre . Et, par conséquent, nous pouvons être confrontés à une sorte de maladie ou à une situation problématique. Et puis la question se pose : qui est la « victime » et qui est le « tyran » ? Afin de bien comprendre ce qui se cache derrière le comportement de ceux qui voient en eux les manifestations d'un « tyran » (peurs, méfiance, humiliation, faiblesse) , etc. ), il est important d'examiner la situation de manière plus approfondie et globale, de trouver les origines et les raisons d'un comportement habituel mais indésirable et de le remplacer par autre chose qui vous satisfasse, vous et vos proches. Et pour cela, vous aurez très probablement besoin du soutien d'un tiers. Si vous considérez ce problème comme une ambulance, comme la nécessité d'ajuster votre comportement lors d'explosions de colère, alors je suis prêt à vous proposer un algorithme court mais très efficace : 1. Dites-vous « arrêt » ; Privez vos émotions d'énergie et d'attention en commençant à réfléchir à : votre interlocuteur - ce qu'il fait, à quoi il ressemble, comment il est assis, ce qu'il porte ; à propos de ce qui se passe derrière la fenêtre - il fait noir, il pleut, le soleil brille, les gens marchent ; pour les objets d'intérieur, etc. ;3. Changez votre attention - élargissez l'éventail de la perception du monde - ne la limitez pas à une seule personne et à une seule situation de conflit 4. Lorsque vous sentez que le pouvoir des émotions s'affaiblit, pensez à trois vertus pour lesquelles vous aimez ou respectez votre adversaire 5. Rejoignez votre adversaire : reconnaissez ses sentiments ;6. Exprimez vos sentiments, votre haine et votre colère sans insulter votre adversaire. Permettez à votre adversaire d’exprimer ses sentiments ;7. Sympathisez avec lui et faites-lui savoir que vous vous souciez de ce qu'il ressent ;8. N'essayez pas de « faire taire » le conflit, mais amenez-le à sa conclusion logique. Apprenez les règles de trois croyances : - Je suis le maître de mes pensées - Je choisis quoi penser et comment vivre ! vie sans guerre (conflit) et ne supporte pas le conflit ! Concept plus détaillé des croyances, je vous propose dans mon programme Cours Express « Praticien PNL »"