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Ce que je souhaite vous présenter ci-dessous est le devoir que j'ai effectué pour le cours de psychiatrie. L'œuvre a été écrite sur la base du film « Hôtel Artemis ». Ma vision et ma compréhension de ce film sont comme une histoire métaphorique sur la psychothérapie traumatique. Comment cela se produit en psychothérapie. Ainsi, devant nous se trouve « l'infirmière-médecin » Jean Thomas de l'étrange hôtel Artemis, où elle est un roi, un dieu et soigne les criminels blessés. Elle a des règles et des règlements clairs que même le propriétaire de l'hôtel n'a pas le droit de violer. Elle est ici depuis 22 ans, la dernière fois qu'elle est sortie, c'était il y a plus de 3 ans. Elle est professionnelle, précise et a des crises de panique et des flashbacks difficiles qui reviennent régulièrement toutes ces années. Elle se souvient de son fils. Puis, quand il était petit et vivant, et quand il est devenu adulte, il est mort. Elle se reproche sa mort. "Nous sommes des mères, donc nous sommes toujours coupables." Jean appelle l'Hôtel sa vie actuelle, la vie avant lui sa vie passée. "L'essentiel est que j'ai un travail." Le travail est son salut et ce qui la maintient dans cette vie. Avec son travail, elle corrige ce qui ne peut être corrigé par la mort de son fils. La technologie médicale a parcouru un long chemin ; de nouveaux organes peuvent être imprimés encore et encore. Mais il est impossible de réimprimer le fils qu'elle a perdu. C'est sa compensation. Faire amende honorable pour la culpabilité qu'elle ressent. Et le vin est un État très gourmand en ressources. Et insatiable. La seule chose qui peut le compléter est le pardon. Le pardon de la personne qui blâme. Jean s'en veut. Et elle ne peut pas pardonner même lorsque la petite amie de son fils lui dit qu'elle n'est pas responsable de ce qui s'est passé - "Nous, les mères, sommes toujours à blâmer". Elle essaie de lutter contre les crises de panique avec une belle musique et des auto-entraînements enregistrés en audio. Mais elle ne se sent en sécurité qu’à l’Hôtel. Parce que peu importe l’horreur qui se passe autour, elle est plus forte en elle. Peur. Et cela peut être atténué par les rencontres quotidiennes avec la douleur et la mort. Économie. Sauver son fils en tout le monde. Son apparence est ordinaire, confortable pour elle. Il n’y a aucune trace de coquetterie féminine ni de désir de s’embellir de quelque manière que ce soit. Il est clair qu’elle a mis fin à toute relation M-F. Et elle ne se considère pas comme une femme. Cela se voit lorsqu'elle donne des instructions même à ses supérieurs, qui la menacent. Et la direction (Niagara) dit à son fils : « Oui, c'est mon hôtel, mais elle est la propriétaire ici, même si Everest est son seul assistant, énorme et puissant, la traitant avec respect, il semble même qu'il soit un. » peu amoureux d'elle, lui apporte de la musique qui la calme, la traite de femme fragile, Jean ne semble pas entendre. Elle a gelé tout ce qui est féminin. "Les mères sont toujours à blâmer" Elle est moyennement sociable - seulement lorsqu'il s'agit d'affaires. Elle ne se repose pas beaucoup. "Le plus important, c'est que les règles soient respectées." Et il semble qu'il n'y ait presque pas de contenu vivant et réel en elle. Mais soudain, elle voit que derrière les portes de l’hôtel, une fille, la petite amie de son fils, demande de l’aide. C'est une flic. Et il existe plusieurs règles en vertu desquelles vous ne pouvez en aucun cas entrer dans l'hôtel. La police ne peut pas être là. La seule chambre restante attend le propriétaire de l'hôtel. Son fils soude l'entrée de l'Hôtel pour sauver cet endroit... Et Jin quitte l'Hôtel pour sauver la jeune fille. Surmonter l'horreur et une attaque de panique. Elle n'a pas fait ça depuis des années. Elle risque tout : sa vie, l'hôtel, tout. Il est important pour elle de la sauver. Il est important pour elle de la rencontrer. Pour elle, c'est une autre rencontre avec son fils. Une autre tentative pour le sauver. Une autre rencontre avec moi-même et une tentative de reprendre vie et de revenir à ma vie passée. Une autre tentative de pardon. Mais... « Avez-vous des enfants ? Oui, trois. Eh bien, vous savez que nous sommes toujours coupables. » Elle gâche cette chance. Une chance de pardonner. Mais c’est important pour elle de lui parler, du vieux trampoline, de son fils. Oui, brièvement et un peu. Mais c’est le seul fil de la guérison, qui commence soudain à se transformer en corde. Jean se rend à Niagara et lui donne le sérum de vérité. Enfreint une autre règle de fer. "Connaissez-vous mon fils?"« Il a volé ma voiture. Et vous connaissez les règles : vous avez pris ce qui m'appartenait et je vous ôterai la vie. " "Mais la police a dit qu'il avait fait une overdose !!!" «Je suis la police ici. Et c'est moi qui fixe les règles." Et la policière n’était que la petite amie de son fils. Qui lui a parlé de l'overdose, la trompant. Et 22 ans plus tard, en réponse à son salut, elle a décidé d'admettre que Jean n'était responsable de rien. Et puis ce qui se passe dans le film reflète directement les processus qui se déroulent à l'intérieur de Jean. Tous les personnages sont ses sous-personnalités et processus internes. "4.38 ; 4,37 ; 4.36..." - sa femme intérieure, Nitsa, mène un reportage intérieur, aussi féminin et sexy que possible, quelque chose que Jean a supplanté en elle-même. Elle s'est réveillée. Et elle va tuer celui qui lui a paralysé la vie - Niagara, qui ne se repent d'aucune mort, seulement du mensonge selon lequel il a trompé Jean. Ayant ainsi fait d'elle le projet principal de sa vie, au même moment, un autre de ses invités, également miroir de la réalité intérieure de Jean, dit à son frère qu'il faut qu'ils partent, c'est dangereux ici. Le frère a peur, refuse cette chance : "Je ne suis pas aussi fort que toi, et tu ferais mieux de partir d'ici." Le frère en bonne santé se rend compte qu'il a servi son frère toute sa vie et qu'il abandonne ses chances. Tous deux sont les personnages intérieurs de Jean. La partie d’elle qui est faible et qui a peur de sortir dans la vraie vie. Et celle qui sert cette peur depuis de nombreuses années et ne vit pas sa vie « 1.38 ; 1,37 ; 1,36… » la Nitsa intérieure compte à rebours. « J’ai eu beaucoup de projets toute ma vie. Et tu étais dans chacun d’eux. Mais tu les as brisés encore et encore. Et maintenant, nous nous asseyons et espérons qu’ils ne nous trouveront pas. Et je n'ai pas de plan. Mais il y a un canon », dit Waikiki à son frère. Et ce sont les mots de Jean à son fils. Qu'elle construit sa vie autour de lui. Et il a peur de quitter l'Hôtel. De ta prison intérieure. Mais maintenant, elle a une arme - du sérum de vérité et Nitsa, prête à tuer « La boucle est bouclée. Je vous ai trouvé. Une femme qui a perdu son fils, son permis de conduire et qui s'est vue interdire de soigner même les sans-abri. L'Univers nous a unis et Artemis est née." Niagara a utilisé sa culpabilité en tuant son fils et en glissant un autre enfant - Artemis. "Tu as tué Bo!" « Tu as passé un marché avec le Diable, que voulais-tu ? » Le discours de Jean devient plus fort, des émotions que l'on n'a pas vues tout au long du film commencent à percer. « 44, 43, 42… » Le dénouement est proche, Nice est déjà proche « 12, 11, 10,…. 5, 4,3,2,1 "Nitsa éteint la lumière. À cause de cela, le frère de Waikiki meurt. Jean essaie de le sauver, mais il n'est plus possible de sauver sa peur de vivre, son habitude de vivre en mémoire de son fils et pour lui, le fils de Niagara crie « Papa », mais le père d'Artemis meurt. Il est tué par Nitsa (la belle et enragée Jean, qui ne fait aucun compromis. La femme intérieure éveillée, la mère) Et puis, tout à fait magnifiquement, Nitsa et Waikiki, deux parties de Jean, se rencontrent. Waikiki blâme et veut tuer Nitsa parce que son frère est mort à cause d'elle. Et il s'agit encore une fois du conflit interne de Jean. Et c’est, à mon avis, le moment le plus fort du film. Le moment de pardon de Jill. Nitsa est Jean - la mère, une femme (qui est toujours coupable et à qui elle ne peut pas pardonner en elle-même, blâmant) "Si vous pensez qu'il est mort à cause de moi - ici", et Nitsa jette l'arme à Waikiki, se rendant. Waikiki lui pardonne. Et puis ils s'unissent. Et c’est l’intégration de Jean après le pardon. La scène suivante est complètement psychothérapeutique : Jean, et devant elle se trouvent ses deux sous-personnalités – Nitsa et Waikiki. Au début, par habitude, elle se souvient des règles : « On ne peut pas tuer d'autres patients », mais c'est déjà comme un vestige de la première. Immédiatement son visage prend vie, des émotions apparaissent dessus : « Comment vas-tu ? Vous êtes blessé ! Et voilà que les soins de Jean sont déjà colorés par la vie, et non par la mécanique du robot. « Femme fragile, tu ne peux pas les arrêter », dit Everest Jean et ajoute gentiment : « Tu as toujours aidé tout le monde, puis-je t'aider ? S'il vous plaît," l'Everest demeure. Pour protéger Jean. Tout comme Nitsa reste, avec les mots : « Vous réparez les gens et je les brise. » Ils restent pour contenir la pression intérieure, la rage et le chaos qui règnent dans le traumatisme de Jean. Cela vaut probablement la peine de dire que ma version est que Jean souffre du syndrome de stress post-traumatique. Culpabilité, crises de panique,