I'm not a robot

CAPTCHA

Privacy - Terms

reCAPTCHA v4
Link



















Original text

Les crises font naturellement partie de nos vies, il est donc extrêmement important de pouvoir les gérer de manière à en bénéficier) «...Comme nous À l'approche de notre trentième anniversaire, nous commençons à ressentir une nouvelle vitalité en nous-mêmes », « ... nous examinons notre passé d'un œil critique », nous « avons souvent le désir d'arracher le morceau du passé et de tout recommencer », et à En général, « ... nous désirons fortement nous réaliser », écrit la chercheuse américaine Gail Sheehy. « Je veux recommencer à vivre », disons-nous)… Une personne seule ressent une poussée qui l'encourage à chercher un partenaire. Une femme au foyer s'efforce de sortir dans le monde. Un homme veut changer de métier et trouver sa vocation. Les parents sans enfants décident d'avoir des enfants. Et presque tous ceux qui sont mariés depuis sept ans sont déçus. Plus près de 30 ans, nous réévaluons nos résultats et nos modes de vie, nous calculons les réalisations et les déceptions. Gail Sheehy estime que la racine de la déception réside dans le fait que nous ne sommes pas devenus ce dont nous rêvions. Probablement, pour la première fois, nous réalisons vraiment que le temps n'est pas infini, que tout se terminera un jour, que nous n'aurons peut-être pas le temps... D'une autre manière, ce phénomène est appelé le concept de mortalité personnelle. Ce n’est pas facile à expérimenter, mais utile, car en fin de compte, cela conduit à la formation de votre propre chemin de vie. J’aime ce qu’Emir Kusturica a dit à ce sujet : « Je ne suis pas une femme, mais à l’évocation de l’été, je me sens triste. » Mon fils a dit un jour lors des funérailles de mon père : « Je comprends maintenant ce qu’est la mort. Une pomme est tombée et a pourri, et alors une nouvelle pomme germera à cet endroit. Alors, est-ce que je ne vais vraiment pas germer quelque part un jour ? Le psychologue A. Mokhovikov l'exprime ainsi : « À 30 ans, le Tao individuel d'une personne se forme. » En d'autres termes, pendant cette période, notre identité, notre vision du monde et nos valeurs habituelles changent. et les significations. Encore une fois, nous devons chercher des réponses : « Qui suis-je, pourquoi est-ce que je vis, avec qui suis-je en route, quel chemin choisir ? Naturellement, tout cela engendre de l’incertitude et d’autres difficultés. Une personne peut s'arrêter à la recherche d'une nouvelle identité, et l'arrêt peut parfois être assez long. Que faire si vous réalisez que vous êtes tombé dans la crise des 30 ans ? Il est très important de savoir que la crise dure ? se déroule en 3 étapes principales : le choc, la phase d'expérience et la transformation en expérience. La phase de choc survient soudainement, et souvent nous n'en sommes pas pleinement conscients. Le plus intéressant arrive au stade de l'expérience. Vous vous souvenez de la traduction bien connue du caractère chinois, selon lequel à côté d'une crise il y a toujours une opportunité ? C'est cette polarité qui est le levier qui nous aidera à faire les bons efforts et à survivre à un moment difficile. danger et une zone d’opportunité. La première menace notre bien-être, donnant lieu à toute une galaxie d'expériences complexes (panique, peur, anxiété, horreur, impuissance, impuissance)... Mais la deuxième partie, la zone ressource, contient beaucoup d'opportunités. une excitation et un intérêt qui font briller les yeux ! Il est important de survivre à la crise de 30 ans dans son intégralité, tant dans sa première que dans sa deuxième partie. Comparons ce phénomène à un vent fort. On peut le regarder impuissant et avoir peur, ou on peut, par exemple, l'utiliser pour faire voler un parapente ou faire voler un cerf-volant. Certains comparent la crise à une tempête ! Dans ce cas, vous pouvez vous asseoir et vous plaindre de ne pas savoir nager, ou vous pouvez, après avoir ressenti de l'intérêt, essayer de faire face à cette tempête. Interagissez ! Prenez-le et nagez tranquillement dans les bas-fonds... Puis devenez plus audacieux et, tel un surfeur, surfez sur les vagues avec dynamisme ! Pour que vos yeux pétillent et vos joues rougissent !) C'est vers cela que nous poussent l'intérêt, l'implication et l'enthousiasme ! C’est intéressant de rencontrer quelque chose d’inconnu, à la fois effrayant et stimulant ! Après tout, ce que nous craignons le plus, c'est ce que nous désirons le plus. Notre besoin de risque, notre dynamisme est la force vitale qui nous pousse vers quelque chose de nouveau, nous pousse à sortir d'une impasse, à surmonter une période difficile. C’est grâce à ces sentiments qu’une crise peut se terminer et se transformer en expérience.