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De l'auteur : Je serai heureux d'ajouter et de commenter le sujet indiqué, car le sujet m'est définitivement ouvert. Tout d'abord, décidons du modèle de cycle de contact que nous utiliserons dans. ce travail. Ce concept de base de la Gestalt-thérapie est couvert en détail par les fondateurs de la Gestalt et leurs disciples : F. Perls, P. Goodman, D. Zinker, M. Kattsev, I. Polster, S. Ginger, J. M. Cycle contact et d'autres. est la formation d'une figure à partir de l'arrière-plan et sa destruction ultérieure. [J.M. Robin, GT] Si l'on reprend la description de F. Perls lui-même, il s'agit d'un changement séquentiel de figure et de fond, au cours duquel la première figure est saturée par l'énergie du fond pour devenir le fond d'un nouveau, chiffre plus clair. Le but du cycle de contact peut être soit de toucher quelque chose d'intéressant, d'attrayant pour une personne, soit d'éviter, de s'éloigner d'un objet dangereux et indésirable. Dans ce cas, l'énergie de contact provient de deux côtés à la fois : à la fois du corps et de l'environnement. Le processus de contact est une unité intégrale, mais pour faciliter la description et la recherche, quatre phases principales sont distinguées. F. Perls considère que la base pour déterminer chaque phase est un changement dans le contenu de la figure. Il convient de noter qu'il existe des théories qui distinguent six (D. Zinker), sept (M. Kattsev), huit (I. Polster) étapes du cycle de contact. Ce faisant, nous sommes guidés par l'avis de S. Ginger, qui, analysant diverses approches de l'étude du cycle de contact, ne voit pas l'intérêt d'une telle fragmentation. Il estime qu'une théorisation excessive en la matière brouille la réalité ; la vie ne s'intègre pas toujours dans de tels schémas, mettant l'intérêt thérapeutique (clinique) au premier plan, S. Ginger considère chaque étape du cycle de contact comme la capacité de voir plus précisément les violations de contact. : casse, blocage, etc. .d. dans le cadre de notre travail, c'est un point de vue plus que commode ; c'est dans cette optique que nous considérerons chacune des phases selon le modèle de P. Goodman.1. Le pré-contact est la phase au cours de laquelle les besoins surviennent.2. La prise de contact est la phase au cours de laquelle les moyens de satisfaire un besoin sont recherchés, évalués et sélectionnés.3. Contact total – interaction avec un objet qui satisfait un besoin4. Le post-contact est la phase d'assimilation, de digestion de l'expérience. En considérant ce travail comme un cycle de contact avec le sujet de l'œuvre, nous nous rapprochons de la phase de plein contact. Nous sommes confrontés à la tâche de considérer l'importance du sens de l'humour (à la fois le thérapeute et le client) aux différentes phases du contact. Dans cette partie du travail, le livre de L. Ravich « L'humour comme psychothérapie » m'a beaucoup aidé, dans lequel il dresse une liste des bienfaits de l'humour et de son utilisation possible dans le cadre de l'approche Gestalt. J'ai organisé ces points selon le cycle de contact à ma propre discrétion et j'ai ajouté mes propres observations et réflexions avant le contact. Il s'agit de la phase de sensations dans laquelle la perception du monde extérieur ou l'excitation qui surgit dans le corps (généralement en réponse à un stimulus environnemental) devient la figure qui suscite l'intérêt. À ce moment-là, le soi fonctionne principalement sur le mode « ça ». Ce qui est important ici, c'est la capacité à isoler une sensation, une impulsion de l'arrière-plan. Ce n'est pas un hasard si P. Goodman a désigné la confluence comme l'un des mécanismes fréquents de rupture à ce stade. Nous avons déjà écrit plus haut que le rire et l'auto-ironie offrent une excellente occasion de se regarder de l'extérieur. Par exemple, Frankl considérait l’humour comme faisant partie de la capacité humaine de dépassement de soi. Donnons un exemple concret. L'exclamation d'un réalisateur apparue en regardant une vidéo d'une réunion avec ses subordonnés : « Regardez ce regard huileux ! Je la regarde comme si je l’invitais au sauna ! peut être la première étape vers la réalisation de vos sentiments ou la possibilité même d'une excitation érotique envers vos subordonnés. Une autre de mes clientes (dont le travail est analysé en pratique) souhaitait mettre un écran d’ordinateur sur la tête de son collègue. Elle comprend que ce n’est pas un scénario réalisable, mais elle identifie clairement sa colère..