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Et elle répondit avec indifférence : « Berger, je ne t'aime pas ! Pourquoi une femme ne veut-elle pas de mari ? Une relation conjugale est une chaîne d’événements liés entre eux par des expériences émotionnelles fortes. Un couple construit cette chaîne dès leur rencontre et continue de la construire tout au long de leur vie. Et si à un moment donné des problèmes commencent dans la relation, alors des nodules se forment dans cette chaîne dans laquelle s'accumulent toutes les émotions, tant négatives que positives. Le pouvoir des émotions négatives est très intense et brillant, de sorte que les nœuds des conflits, des insultes, des insultes, de la violence restent longtemps dans les mémoires et se rappellent périodiquement. Et donc le premier type, le mari tyran : extérieurement intelligent et attirant. Dans une relation avec sa femme, il est cruel, constamment insatisfait, la critique et la bat. Afin de ne pas développer de conflits au sein de la famille, elle essaie de ne pas arranger les choses, livre tous ses caprices à son mari, cède, essaie de changer, s'adapte à son mari. Ces actions passent souvent inaperçues. Mais ils ne sont pas remarqués car le mari a sa propre stratégie comportementale. Il en a besoin de cette façon. Il ne faut pas remarquer, ni deviner, ni voir. Tellement rentable. Il élève sa femme. On peut même le battre périodiquement, à titre préventif, pour ne pas se relâcher. Pour que vous sachiez qui est le patron dans la maison ! Oui, la femme le sait, elle a appris depuis longtemps la règle selon laquelle le mari a toujours raison ! Dès la consultation : « J'ai accumulé du ressentiment pour l'humiliation et les insultes, j'essaye, mais il trouve quand même de quoi aller au fond. de. Il me gifle, me tire par les cheveux, et puis il exige aussi du sexe ! Comment puis-je faire l'amour avec lui après tout, j'ai envie de crier de ressentiment, et de ne pas l'embrasser, je déteste devoir me forcer ! avoir une relation intime avec lui ! une telle vie ! " Mari pédant : Au lit, il sait mieux ce dont elle a besoin, comment elle en a besoin et combien elle en a besoin ! En rentrant du travail ou en restant à la maison pendant un certain temps, il sait avec certitude qu'il est nécessaire de toucher une femme (il l'a lu dans le manuel des relations), donc tapoter un point faible, pincer, serrer dans ses bras, serrer est un rituel quotidien . Mais arrêtez! La femme n'est pas contente ! Cela la rend folle ! Il semblerait qu'il y ait quelque chose qui ne va pas avec ça ? D'un côté - rien, on peut même dire - bien ! Bien joué! Il aime sa femme et la réchauffe ! Par contre, ses attouchements la rendent furieuse ! Voici ce que dit une femme (issue d'un cabinet de conseil) : elle sait qu'elle a besoin d'avoir des relations sexuelles au moins deux fois par semaine, elle respecte donc strictement cet horaire. Rituel obligatoire - avant l'intimité, je dois enfiler de la lingerie érotique et défiler devant lui. Si je le mettais pendant la journée et qu'il le voyait, il y aurait beaucoup de questions et d'indignation. Au lit, tout se passe selon le scénario mémorisé ! J'en ai déjà marre de lui ! Je sais où ça commence et comment ça se termine. Vers le soir du jour où nous avons prévu des relations sexuelles, ma tête, mon ventre, mes nausées et bien plus encore commencent à me faire mal d'avance ! Je ne veux pas de lui ! Le mari s’en fout : il aime sa femme « telle qu’elle est ». Au lit, rien à redire, comme c'est arrivé, c'est arrivé ! Mais ça n'a pas marché, ce n'est pas grave, avec les mots « ni toi ni moi », il se tourne sur le côté et ronfle doucement. La femme, « n’ayant pas bu une gorgée », reste avec « des intérêts en diamant ». En essayant de discuter du problème, le mari répond : « C'est bon ! Pas de problème ! Qu'est-ce que tu as trouvé !! Dans de telles relations, la femme reste physiquement insatisfaite et l’énergie sexuelle négative s’accumule. Histoire de vie : au début, je voulais lui faire du mal, le battre, et je lui ai donné des coups de pied dans le lit, je l'ai pincé, je l'ai mordu. Je veux pleurer. C'était honteux. J'ai essayé de refaire l'amour, mais hélas, il n'en avait plus besoin. Il ment calmement, promet que demain il arrangera tout. Mais demain arrive et la même chose se répète. J’étais physiquement dans un tel état qu’on pouvait dire, comme pour plaisanter : « Je me promenais et je rêvais d’être violée ! Au bout d'un moment, j'ai réalisé qu'il valait mieux ne rien faire du tout que de devenir comme ça.