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De l'auteur : Chacun de nous en sait beaucoup sur ce qu'il devrait. Ces « devrait » empoisonnent notre vie et la privent de couleur. Que peut-on faire pour sortir du cercle vicieux des « devrait » des autres ? Chacun de nous en sait beaucoup sur ce qu’il devrait ? Par exemple, je dois me lever à 6 heures du matin (5, 7, 9...), manger (même si je n'aime pas manger tôt), me rendre au travail à une certaine heure, finir les choses que je n'ai pas faites. j'ai eu le temps de faire hier. Aujourd’hui, le nombre de cas va augmenter et je devrai résoudre de nouveaux problèmes urgents. Je peux continuer encore et encore avec cette longue liste de « devrait » (chacun de nous a le sien). Mais je vous demande de faire attention à ce qui arrive à votre humeur, à votre respiration, à vos muscles lorsque vous lisez cette liste de mes « devrais », qui n'a même pas de rapport direct avec vous. Même en l'écrivant, mon corps se tend, ma main bouge davantage. et plus lentement, mes pensées se déchaînent et je me fige. Je suis sûr que chacun de nous a sa propre manière de répondre à tous ces « devrait ». Et très souvent, cela ressemble à une protestation enfantine : un sabotage. Pour nous, pour les adultes, cela s’exprime de la même manière que pour les enfants : nous sommes en retard, oublions, avons du mal à réfléchir, tombons malades ou faisons (souvent inconsciemment) autre chose dans laquelle se manifeste notre protestation contre la coercition. Parfois, nous qualifions cette protestation de « paresse » et, en plus de cela, nous nous en reprochons aussi. Et puis la « paresse » pourrait bien se transformer en « dépression ». Et ce sera une réaction à « l’impossibilité » et au « manque de portée ». Il me semble avoir décrit des situations d’« obligation » et de « contrainte » qui sont douloureusement familières à chacun de nous. Ils gouvernent notre vie, la transformant en une course éternelle, souvent ennuyeuse et provoquant soit la colère, soit la résignation. Et que pouvons-nous faire ? Se résigner ? Tolérer? Tout dire périodiquement à l'enfer ? Partir, commencer une nouvelle vie, puis revenir à l'ancienne ? Mais il existe une autre façon, plus intéressante, de faire face à une telle violence contre soi-même : trouver dans chaque « devrait » son « vouloir ». Eh bien, par exemple, au lieu des mots : « Je dois être là à 9 heures » - « Je veux éviter la censure » ; « Je dois manger », « Je ne veux pas penser à chercher de la nourriture pendant un moment » ; "Je dois faire quelque chose" - "Je veux voir le résultat de mon travail"... Je me demande si vous parvenez au moins parfois à trouver votre "désir" dans le "devrait" de quelqu'un d'autre, comment seront votre humeur et vos réactions corporelles changement? Bien sûr, je suis conscient que s’appuyer sur ce « je veux » est très ambigu. Après tout, on ne sait pas d’où il vient, quelle est sa source. Pourquoi est-ce tout d'un coup, je veux ça et je ne veux rien d'autre. Je pense que c'est un sujet pour une conversation séparée qui aura lieu un jour. Rejoignez-moi sur Skype « irinachekhova » pour la continuer. Cordialement, Votre ! psychologue, physiologiste, gestalt-thérapeute, superviseure Irina ChekhovaContacts : Skype "irinachekhova", http://online-psiholog.com/, +38050368-35-44 (Viber, WhatsApp)